«J’ai toujours pensé que mes travaux sont un prolongement des corps, de tous les corps. Les reliefs «joueront» comme une sorte d’appendice au visage, à la main, aux jambes des acteurs en mouvement. C’est une expérience nouvelle pour moi. De cette déambulation les travaux prendront d’eux-mêmes de nouvelles positions, formes. L’aléatoire prend la place indéfinie laissée par les mouvements provoqués par les porteurs.
Les sculptures qui sont habituellement et toujours statiques se mettront en mouvement.»
Vincent Gagliardi
|