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Intervention
de l'artiste dans la vitrine de FAUX MOUVEMENT
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Constat VI |
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La peinture de
Karim Sergoua accroche et capte le regard, Karim séduit par le flamboiement des couleurs, le rythme, la géométrie
des graphismes, pour ensuite nous immerger au fond de l’angoisse.
Les noirs, les projections, les éclaboussures, les déchirures
envahissent les espaces. L’homme fragile, blessé crie.
Sa bouche est béante. Sa peinture hurle, souffre. Il n’y
a plus d’idole mystérieuse. Karim est un artiste international.
Il vit comme il peint, avec fougue, amour, passion et rage. A Champigny,
dans son atelier, il travaille au calme, bercé par sa musique
préférée, ou dans la rue, sur les murs, au sol,
militant d’un art où tout est possible, son énergie,
sa vivalité et son amour le transportent, mais il revient
toujours à Alger, sa patrie, sa famille ; sa peinture est
le prolongement de son âme». |
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